« Le nombre des charges portées par les piétons et les cyclistes au cours de leurs déplacements en centre-ville a notablement augmenté au fil des XXe et XXIe siècles. Ces charges – qu’il s’agisse de sacs ou d’accessoires – permettent de mieux organiser sa journée, d’être plus autonome, de favoriser l’enchaînement des déplacements sans repasser par son domicile. En contrepartie, elles sont susceptibles d’entraver leurs porteurs, de contraindre leurs déplacements, de créer un inconfort physique et social en situation de mobilité et d’ainsi les chances d’une adoption plus large des modes de transports doux et intermodaux. »
https://sms.hypotheses.org/35294

