En 2025 peut-on encore voyager ?

« Cet essai traite des voyages, ou plutôt du tourisme, comme d’un prédateur engendré par le capitalisme. Tout doit être exploité, monnayé, tout est à mon service.
Si les transports sont au cœur du problème, on ne saurait s’y arrêter. Le tourisme est un bien toxique qui s’alimente par la mode, le mimétisme, et l’angoisse qui nous saisit. Pour l’auteur nous sommes déjà dans le « stress pré-traumatique », c’est pourquoi nous fuyons dans tous les sens.
L’auteur déplore la confusion entre « niveau de vie » et « qualité de vie », plaidant pour que la vie soit plaisante ici, là où nous sommes. Il souhaite la fin des « vacances » obligatoires (« vous ne partez pas ? »). Il nous dépeint le tourisme comme une fuite des lieux où nous ne sommes pas bien. »

Isabelle et le vélo

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Ici, là et ailleurs

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